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Cheminot, « chef de train » précise-t-il, il ne conduit donc pas la locomotive, ce qui lui laisse le temps de rêver et d’observer les pierres du ballast qui ont des formes bizarres, lui évoquant des figures humaines ou animales. A partir de pierres et de cailloux glanés sur les voies de chemin de fer, il élabore des pièces montées dans son jardin de Mantes-la-Jolie : une cathédrale, une cérémonie de mariage, un bal musette… Aidé par un ami électricien il cache de petits moteurs qui font tourner les couples de danseurs. Les visiteurs se pressent les dimanches après-midi pour admirer son « Paysage de Pierres ».
Réalisé entre 1958 et 1974, cet environnement a fait plusieurs fois l’objet de vandalisme, conduisant Marcel Landreau à vendre sa maison pour retourner vivre dans sa région natale. Le site a été détruit vers 1990. Dès 1972, Alain et Caroline Bourbonnais rendent visite à Marcel Landreau, ils s’écrivent régulièrement. Mais seuls un couple et une vache furent acquises par Alain Bourbonnais.
EN
As a cheminot, « train conductor » he specifies, he does not drive the locomotive, which leaves him time to dream and to observe the stones of the ballast which have strange shapes, evoking human or animal figures. From stones and pebbles gleaned from the railroad tracks, he elaborates pieces mounted in his garden of Mantes-la-Jolie: a cathedral, a wedding ceremony, a musette ball… With the help of an electrician friend, he hides small motors that make the couples of dancers turn. Visitors flock on Sunday afternoons to admire his « Paysage de Pierres ».
Created between 1958 and 1974, this environment has been vandalized several times, leading Marcel Landreau to sell his house to return to live in his native region. The site was destroyed around 1990. Since 1972, Alain and Caroline Bourbonnais visit Marcel Landreau, they write regularly. But only a couple and a cow were acquired by Alain Bourbonnais.